À la lisière de l’amer
Le silence au zénith
Brûle les mots aconits
Oh la fausse fleur
Venin pyramidal
Empoisonnant mon esprit
De pensées vandales
Noircissures caudales
Consumant les étoiles
Qui filent à l’envers
Dans ma chair
Va-t-elle crever
L’obscurité truculente
Qui calcine mon ventre
À petit feu …
Je le veux tant ; mon ciel bleu !
Je le veux tant ; mon ciel bleu !
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